Acronyme:
EARTHEN
Nom long:
Thermal behavior prediction of earthen architecture by using Artificial Intelligence
Portée:
Smart Cities
Institution:
Université de Lleida
Membres:
Université de Lleida
Université de Lleida
Université de Lleida
Université de Lleida
Université de Pau et des Pays de l’Adour
Université de Navarre
Université de Navarre
Arquitectura de Entorno
Manuel Julià / Melitó Camprubí / Gerard Fontanals / Jaume Coscollar
ArpArq “Associació de restauradors del patrimoni arquitectònic”
Université de Lleida
Université de Lleida
Université de Lleida
Université de Lleida
Antonia Navarro / Belén González / Marta Miranda
Université Polytechnique de Catalogne
Université de Navarre
Université de Navarre
Edra Arquitectura Km 0
Description:
Les trois dimensions de la durabilité sont la responsabilité environnementale, l’équité sociale et la viabilité économique. L’une des rares technique qui parvient à concilier simultanément ces trois dimensions reste la terre.
Sur le plan environnemental, la terre est considérée comme un matériau écologique car elle nécessite peu d’énergie et produit de faibles émissions dans le processus d’extraction et de fabrication, elle a une grande durabilité, elle peut être recyclée en fin de vie et c’est une ressource locale puisqu’elle se retrouve partout dans le monde.
Socialement, l’architecture en terre est présente depuis onze millénaires dans de nombreuses cultures diverses. Des exemples impressionnants d’architecture en terre, tels que des palais et des monuments de l’ancienne Al-Andalus, sont toujours présents après plusieurs siècles. Aujourd’hui, les bâtiments en terre abritent un tiers de l’humanité dans 150 pays, y compris les pays développés.
Sur le plan économique, les bâtiments en terre sont abondants et bon marché, accessibles à la population et favorisent une croissance endogène.
En outre, les exigences récentes concernant le confort thermique des bâtiments nécessitent de nouvelles améliorations dans l’incorporation d’isolation pour la rénovation énergétique des bâtiments en terre. Pour ces raisons, les bâtiments durables nécessitent différentes manières de développer les futurs processus de construction, avec des technologies innovantes basées sur des connaissances anciennes de l’architecture en terre. Les dernières innovations en intelligence artificielle pourraient être la prochaine étape en terme de gestion du confort thermique des bâtiments en terre en ville dans un future proche. Enfin, l’environnement urbain pourrait profiter des avancées de l’IA pour sa gestion durable, dans un contexte de Smart Cities.
Hypòthese:
L’architecture en terre doit être soutenue car elle remplit les critères économiques, sociaux et environnementaux nécessaires au développement d’un modèle durable de construction.
L’architecture en terre comme moteur d’emploi dans la zone en générant de nouveaux emplois dans la construction de nouveaux bâtiments mais aussi la conservation de bâtiments déjà existants.
L’architecture en terre est capable de produire des bâtiments à faible consommation énergétique tout en maintenant les conditions optimales de confort thermique pour les usagers.
L’architecture en terre favorise un modèle de construction durable qui s’insère dans un concept d’économie circulaire.
Objectifs:
Ce projet à par but de soutenir le développement à travers la recherche en matière d’énergie durable et de développement technologique.
Le plan d’action est axé sur deux thématiques prioritaires : stockage de l’énergie et efficience énergétique.
Définir un système de gestion intelligent pour les infrastructures urbaines vertes (UGI) afin de minimiser les activités de maintenance, d’optimiser les ressources d’eau et de nutriments et de maximiser les services écosystémiques dans l’environnement de construction (réduction du bruit, effet d’île de chaleur urbaine et émissions de CO2 dans les grandes villes afin de contrôler le ruissellement de l’eau, etc.)
Du point de vue des sous-systèmes d’approvisionnement d’énergie opératifs dans de plus larges systèmes, le regard du consortium contribue au développement d’un cadre pour le soutien de décisions multi-niveaux intégrateur, flexible et adaptable aux différents contextes : énergie dans la ville/ le quartier / la consommation d’un seul bâtiment, afin d’attendre au villes Energie presque nulle (NZEC). En termes d’énergie, remplir cet objectif demande de l’usage à grande échelle des énergies renouvelables et de ‘l’intégration, adéquate et innovante du système énergétique ce qui impliquera un fort potentiel d’économie d’énergie. Potentiel qui dans l’actualité n’est pas exploité.
Prenant en compte les capacités et l’expérience rassemblées dans le réseau, des objectifs scientifiques spécifiques peuvent être définis. Souligner la promotion de l’usage de solutions hybrides de stockage d’énergie thermoélectriques en tant que technologie de transition énergétique. Les technologies avec haute densité d’énergie, en tant que composantes clés pour l’intégration de sources d’énergies renouvelables (essentiellement l’énergie solaire thermique, photovoltaïque et PVT), le chaleur résiduel (incluant la chaleur de systèmes de cogénération) ou l’usage de sources thermiques plus favorables (grand potentiel pour bénéficier de une integration énergétique adaptée des bombes à chaleur) en réseaux pour le chauffage et la réfrigération du district seront particulièrement prises en compte.
Une étape initiale va être nécessaire afin de renforcer le consortium, à favoriser l’alignement et la formation des équipes à travers le partage de connaissances actualisées et l’échange de données de recherche ainsi que l’échange de procédure.